Jeudi 7 mai, Julien Denormandie, ministre chargé de la Ville et du Logement, annonçait le prolongement de la période hivernale de l’hébergement d’urgence et la trêve des expulsions locatives jusqu’au 10 juillet. Une décision positive, d’une absolue nécessité en pleine crise sanitaire et sociale.
Mais si les personnes sans-domicile, mal-logées et celles qui rencontrent des difficultés pour payer leur loyer et leurs charges ont gagné quelques semaines de répit… le problème restera entier dès le mois d’août.
Pour que demain ne ressemble pas à hier, le Collectif des Associations Unies propose 15 mesures à adopter d’urgence.