Dans un courrier daté du 8 janvier 2021, l’Uniopss interpelle le ministre des Solidarités et de la Santé. Elle demande à ce que l’ensemble des professionnels des secteurs social et médico-social, dans les mêmes conditions d’âge et de comorbidités à risque de forme grave de Covid-19, puissent être inscrits dans la première vague de vaccination et en conséquence d’inclure ces personnels aux prioritaires, tel qu’élargi dernièrement.

Le ministère des Solidarités et de la Santé a adressé le 31 décembre 2020 un message d’information aux professionnels de santé sur l’accélération de la campagne de vaccination contre la Covid-19. Il annoncé une montée en charge du dispositif de vaccination à compter du 4 janvier, avec l’approvisionnement des 100 établissements de santé « pivot ».

Depuis plus de six mois, l’Uniopss demande le versement d’une prime pour reconnaître l’engagement de l’ensemble des professionnel.le.s de terrain des secteurs social et médico-social, en première ligne depuis le début de la crise sanitaire. Le 28 décembre dernier, à quelques jours de la clôture des comptes des collectivités, l'Uniopss a diffusé un communiqué de presse dans lequel elle pointe d’importantes disparités entre les territoires et les secteurs.

Dans un communiqué de presse diffusé le 28 décembre dernier, l’Uniopss demande le versement de la Prime Covid pour tous les professionnels du social et du médico-social.

  À compter du 1er janvier 2021, le décret porte : Le montant du SMIC brut horaire à 10,25 € (augmentation de 0,99 %). Cela correspond à 1 554,58 € mensuels sur la base de la durée légale du travail de 35 heures hebdomadaires en métropole, en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique, à La...

Dans un courrier daté du 16 décembre, signés par les 6 ministres et secrétaires d’État concernés, Olivier Véran, Emmanuelle Wargon, Eric Dupond-Moretti, Sophie Cluzel, Brigitte Bourguignon et Adrien Taquet, sont annoncés plusieurs aménagements de calendrier du dispositif d’évaluation rénové qui devait entrer en vigueur au 1er janvier 2021 selon la loi Santé de 2019, en raison de la crise sanitaire.

Mercredi 16 décembre, Jean Castex et Olivier Véran ont présenté la stratégie vaccinale aux députés. Le Premier ministre a rappelé la mise en place d’un cadre de dialogue pérenne sur la crise, avec un comité permanent installé le 7 décembre, composé des présidents de chacune des assemblées et des présidents des groupes parlementaires.

Cette première phase du plan, visant à identifier des projets pilotes, devrait concerner 40 à 50 organismes gestionnaires pour environ 800 ESMS ; ils seront sélectionnés par les ARS dans le cadre d’appels à projets régionaux. Les projets qui seront sélectionnés devront être rapidement opérationnels et aboutir pendant la durée de la phase d’amorçage. Ils pourront être multirégionaux et englober des ESMS relevant de plusieurs ARS.

Alors que le gouvernement a transmis aux acteurs associatifs et mutualistes du secteur, les différents éléments de sa réforme des politiques de la petite enfance, ces derniers ont exprimé, par la voie d’un communiqué de presse diffusé le 15 décembre, leurs inquiétudes quant à une possible dégradation de l’accueil.

L’ODAS vient de présenter les résultats de son enquête sur les effets du premier confinement sur la protection de l’enfance. « Les enseignements tirés de cette crise permettront de mieux adapter les pratiques professionnelles en protection de l’enfance avec en ligne de mire une meilleure prise en compte des besoins de l’enfant ».