Depuis le 1er avril, la DIRECCTE et la DRCS Provence-Alpes-Côte d’Azur se sont regroupées pour former la Direction Régionale de l’Economie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités (DREETS). La DREETS pilote, anime et coordonne les politiques publiques mises en œuvre dans la région sur son champ de compétences, en s’articulant avec les Directions Départementales de l’Emploi, du Travail et des Solidarités (DDETS). Ces directions départementales interministérielles, placées sous l’autorité, des Préfets de département, reprennent les missions précédemment assurées par les unités départementales (UD) des DIRECCTE et les Directions Départementales de la Cohésion Sociale (et de la Protection des Populations) — DDCS(PP).

La Défenseure des droits, Claire Hédon, a rendu public un rapport mettant en lumière les atteintes aux droits fondamentaux, au respect de la dignité et de l’intégrité des personnes accueillies en EHPAD, sur la base des réclamations qui lui ont été adressées ces 6 dernières années. Ce rapport formule 64 recommandations visant à améliorer la prise en charge des personnes accueillies en EHPAD et d’assurer l’effectivité de leurs droits, parmi lesquelles 13 recommandations spécifiques à la situation de crise sanitaire.

Un communiqué de presse du 4 mai 2021 du ministère des Solidarités et de la Santé, précise les annonces d’Emmanuel Macron du 15 avril dernier sur un forfait psy enfant. Le communiqué évoque la mise en place prochaine du dispositif « PsyEnfantAdo » – dispositif de soutien psychologique d’urgence pour répondre aux conséquences de la crise sanitaire sur la santé mentale chez les enfants et les adolescents.

Les résidences autonomie sont régulièrement oubliées des mesures prises par l’État et les Départements, en matière salariale comme économique. Pourtant, ces 2 300 structures qui accueillent 110 000 personnes âgées, font partie intégrante des filières gérontologiques et contribuent activement à la prévention des risques, avec des professionnels pleinement engagés auprès de résidents dont la moyenne d’âge avoisine celle des EHPAD.

L’URIOPSS relance son Groupe de Travail Emploi Formation le 28 mai, de 9h30 à 12h (format présentiel ou distanciel précisé ultérieurement).

La Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) fait le bilan de l’évolution de l’offre d’accueil et d’accompagnement des personnes handicapées et des personnes âgées durant l’année 2019. Une année marquée d’une part par l’accélération de l’installation de solutions pour personnes âgées et d’autre part, par un engagement dynamique des crédits de la Stratégie nationale pour l’autisme et le déploiement de nouvelles solutions.

Un courrier relatif aux résidences autonomie, à l’initiative de la FNADEPA et signé par l’UNIOPSS, la FEHAP, la FNAQPA, l’AD-PA, le SYNERPA et la Mutualité Française, a été envoyée hier aux Ministres Brigitte Bourguignon, et Olivier Véran.

Le 21 janvier 2020, un courrier à l’initiative de l’UNIOPSS avait été adressé à la secrétaire d’Etat en charge des Personnes handicapées, concernant la prise en compte des jours d’absence des personnes hébergées en établissement, soulignant notamment un manque d’homogénéité dans les pratiques, au préjudice tant des personnes accueillies et de leurs familles, qu’à celui des établissements qui les hébergent. 

L’UNIOPSS, représentée par Manon Jullien, conseillère technique Lutte contre les exclusions et par Laurie Fradin, conseillère technique Santé/ESMS, a été auditionnée par Florence Ligier, Chef de projet Inclusion sociale – Service recommandations, Direction de la Qualité de l’Accompagnement Social et Médico-social (DiQASM) et Anne Depaigne-Loth, Service des bonnes pratiques (SBP), Direction de l’Amélioration de la Qualité et de la Sécurité des Soins (DAQSS) de la Haute Autorité de Santé, les 12 et 26 avril. Cette audition s'inscrit dans le cadre des travaux menés par la HAS pour contribuer à l’amélioration de l’accès aux soins et l’accompagnement des personnes en grande précarité présentant des troubles psychiques et/ou une souffrance psychique.

Dans une lettre datée du 16 décembre 2020, le gouvernement avait informé les fédérations gestionnaires d’ESSMS du report, au 1er novembre 2021, de l’entrée en vigueur de la réforme de l’évaluation interne et externe des établissements sociaux et médico-sociaux, lié à la crise sanitaire.  Bien que cette annonce a été un soulagement pour les organisations et les professionnels du secteur, elles appellent aujourd’hui, et de toute urgence, à une décision législative ou réglementaire afin de sécuriser la procédure d’évaluation des ESSMS et éviter de faire courir des risques juridiques aux établissements sociaux et médico-sociaux.